Ce qui suit est l'idée de base de ce qui a donner plus tard un court métrage fait du temps du conservatoire...
"Un doux rêve"
Ne pas le faire...Oui, mais à quel prix? Le laisseraient-ils vivre s'il se rebellait? Surement pas. Depuis qu'ils lui avaient parlé la première fois, il savait qu'il leur appartenait; il ne leur échapperait pas; ils avaient été très clair là dessus, ils avaient besoin de lui et ne permettraient pas qu'il déjoue leurs plans.
Plusieurs fois il avait tenté de leur résister. Et chaque ils l'étouffaient un peu plus, jusqu’à l'asphyxie. Et chaque fois il criait grâce. Par lâcheté il continuait donc son travail. Leur travail.
Son paquet sur le dos, il avançait avec peine jusqu’à un bâtiment de forme rond , d'environ dix mètres de diamètre pour vingt de haut. Il se souvient que ce petit bâtiment, situé en plein milieu du parc près de chez lui avait servit autrefois de relais d'eau ou quelque chose comme ça, il ne savait plus trop mais qu'importe.
Arrivé à hauteur de la porte d'entrée du bâtiment il n'eut qu'a la pousser du pied pour l'ouvrir; il l'avait déjà fractionné lors d'un précédent passage.
Il déposa avec douceur son paquet sur le sol. Il se laissa ensuite tomber lourdement. Avec frénésie il entreprit de défaire le paquet. Il desserra l'épaisse corde qui entourait la couverture. Il fallait qu'il voit son visage au moins une dernière fois. Pire, il voulait même subitement tout abandonner, revenir en arrière. Il entendit alors leurs voix, pleines de reproche et de mécontentement et déjà il suffoquait. Elles continuèrent de plus belle, de plus en plus fortes, de plus en plus lancinantes. Il supplia les voix de cesser; il allait continuer; mais par pitier qu'ils arrêtent. Il tourna alors la tête vers le trou qu'il avait creusé à son premier passage; de la où il était il ne pouvait voir qu'une main sur laquelle trônait l'alliance qu'il lui avait offerte. Ils étaient si heureux à cette époque...Des larmes vinrent alors laver son visage noircit par la terre. Il s'essuya d'un revers de main. A genoux, il s'approcha alors du paquet qu'il venait d'apporter, finit de l'ouvrir pour en sortir le corps de son fils encore endormit par les somnifères. Puis soudain,l'enfant ouvrit des yeux ensommeillés et plein d'interrogation. Pris de panique il fixa son fis, tentant de lui rendre un sourire. Sa main cherchait sur le sol terreux jusqu’à ce qu'elle trouve le manche de la pioche dont il c'était servit pour creuser le trou. Il l'empoigna et frappa de toute ces forces. le coup arriva sur le sommet de crâne de l'enfant qui s'effondra. A la vue de son fils gisant ainsi il eut alors envie de hurler, de hurler à la mort. Tout son être hurlait, mais aucun son ne sortait de sa bouche. Il se laissa alors tomber en arrière et s'adossa contre le mur de pierre derrière lui. Une bouffée de colère monta alors en lui; qu'ils fassent ce qu'ils veulent, il ne ferait plus jamais rien pour eux et tandis qu'il se persuadait qu'il allait tout réparer, il sentit le lierre commencer à lui enserrer les chevilles, remontant le long de son corps, arrivant jusqu’à son coup...leur punition...il le savait...le lierre vient embrasser son coup et serra, serra de plus en plus fort, il suffoquait.
A quelques centimètres de là, l'enfant ouvrit péniblement les yeux et sans bouger regarda autour de lui. Au sommet de son crâne le cratère terreux fait par la pioche laissait couler un sang noir sur son visage. Il vit alors un visage qu'il reconnaissait sans peine; celui son père. Entrain de s'étrangler de ces propres mains.
A bout de force l'enfant ferma lentement les yeux, se disant que décidément, certains rêves sont bien étranges...
"Un doux rêve"
Ne pas le faire...Oui, mais à quel prix? Le laisseraient-ils vivre s'il se rebellait? Surement pas. Depuis qu'ils lui avaient parlé la première fois, il savait qu'il leur appartenait; il ne leur échapperait pas; ils avaient été très clair là dessus, ils avaient besoin de lui et ne permettraient pas qu'il déjoue leurs plans.
Plusieurs fois il avait tenté de leur résister. Et chaque ils l'étouffaient un peu plus, jusqu’à l'asphyxie. Et chaque fois il criait grâce. Par lâcheté il continuait donc son travail. Leur travail.
Son paquet sur le dos, il avançait avec peine jusqu’à un bâtiment de forme rond , d'environ dix mètres de diamètre pour vingt de haut. Il se souvient que ce petit bâtiment, situé en plein milieu du parc près de chez lui avait servit autrefois de relais d'eau ou quelque chose comme ça, il ne savait plus trop mais qu'importe.
Arrivé à hauteur de la porte d'entrée du bâtiment il n'eut qu'a la pousser du pied pour l'ouvrir; il l'avait déjà fractionné lors d'un précédent passage.
Il déposa avec douceur son paquet sur le sol. Il se laissa ensuite tomber lourdement. Avec frénésie il entreprit de défaire le paquet. Il desserra l'épaisse corde qui entourait la couverture. Il fallait qu'il voit son visage au moins une dernière fois. Pire, il voulait même subitement tout abandonner, revenir en arrière. Il entendit alors leurs voix, pleines de reproche et de mécontentement et déjà il suffoquait. Elles continuèrent de plus belle, de plus en plus fortes, de plus en plus lancinantes. Il supplia les voix de cesser; il allait continuer; mais par pitier qu'ils arrêtent. Il tourna alors la tête vers le trou qu'il avait creusé à son premier passage; de la où il était il ne pouvait voir qu'une main sur laquelle trônait l'alliance qu'il lui avait offerte. Ils étaient si heureux à cette époque...Des larmes vinrent alors laver son visage noircit par la terre. Il s'essuya d'un revers de main. A genoux, il s'approcha alors du paquet qu'il venait d'apporter, finit de l'ouvrir pour en sortir le corps de son fils encore endormit par les somnifères. Puis soudain,l'enfant ouvrit des yeux ensommeillés et plein d'interrogation. Pris de panique il fixa son fis, tentant de lui rendre un sourire. Sa main cherchait sur le sol terreux jusqu’à ce qu'elle trouve le manche de la pioche dont il c'était servit pour creuser le trou. Il l'empoigna et frappa de toute ces forces. le coup arriva sur le sommet de crâne de l'enfant qui s'effondra. A la vue de son fils gisant ainsi il eut alors envie de hurler, de hurler à la mort. Tout son être hurlait, mais aucun son ne sortait de sa bouche. Il se laissa alors tomber en arrière et s'adossa contre le mur de pierre derrière lui. Une bouffée de colère monta alors en lui; qu'ils fassent ce qu'ils veulent, il ne ferait plus jamais rien pour eux et tandis qu'il se persuadait qu'il allait tout réparer, il sentit le lierre commencer à lui enserrer les chevilles, remontant le long de son corps, arrivant jusqu’à son coup...leur punition...il le savait...le lierre vient embrasser son coup et serra, serra de plus en plus fort, il suffoquait.
A quelques centimètres de là, l'enfant ouvrit péniblement les yeux et sans bouger regarda autour de lui. Au sommet de son crâne le cratère terreux fait par la pioche laissait couler un sang noir sur son visage. Il vit alors un visage qu'il reconnaissait sans peine; celui son père. Entrain de s'étrangler de ces propres mains.
A bout de force l'enfant ferma lentement les yeux, se disant que décidément, certains rêves sont bien étranges...
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